La biographie de Květoslav Minařík

Le résumé suivant des destins de Kvetoslav Minarik est basé sur son autobiographie „Kecara“et sur les autres petits écrits autobiographiques. Le résumé décrit pas seulement le cours de sa vie mais aussi son efforce spirituelle.

1908 – 1930

Kvetoslav Minarik est né le 21.février 1908 à Litvínov, dans la partie Horní Litvínov, le département Most. Son père, Frantisek Minarik était mineur et athée qui luttait pour l’amélioration des conditions des ouvriers. Il a décédé en janvier 1916, Kvetoslav Minarik n’avait que huit ans.

La famille était ainsi privée de son soutien, elle est tombé dans de graves problèmes d’existence. La mère de Kvetoslav Minarik, Josefa Minarikova, n’était pas capable de gérer la vie de la famille, de Kvetoslav agé de neuf ans et de sa sœur Slavomila âgée de sept ans, toute seule, elle s’est alors remariée. Mais son nouveau mari na travaillait pas et forçait le petit Kvetoslav mendier. Il l’a aussi maltraité, le petit souffrait de sous-alimentation, en conséquence de laquelle il avait la cécité nocturne. Quand Kvetoslav avait 10 ans il a du travailler aux champs comme un ouvrier salarié, ses parents dissimulaient son age réel. Et en hiver, il était obligé de fabriquer des chaussons pour aider à faire vivre la famille, on lui interdisait d’aller à l’école.

Ainsi est arrivé que Kvetoslav Minarik a passé à l’école seulement quatre ans. Finalement, sous la pression des conditions de vie dans sa famille, Kvetoslav s’est enfuit de la maison à l’age de quatorze ans. Il a commencé à vivre à Jablonec nad Nisou où il a travaillé comme un journalier sur les chantiers. En 1922 il a commencé à vivre chez son demi-frère Oldrich, à Hradec Králové. Son frère a voulu qu’il choisisse un métier, il tenait à un métier ou on puisse manger, soit boucher soit boulanger. Kvetoslav Minarik est ainsi devenu boulanger.

Les grandes peines de la vie le forcait depuis sa jeunesse à chercher une manière comment les dépasser oú éliminer. Il avait un ami avec la même manière de penser, Jaroslav Joneš, qui lui avait offert - entre les années 1924-1925- un livre sur le yoga contenant la description des exercices physiques, un livre qui mentionnait à sa fin la vie spirituelle. Grace à cette mention Kvetoslav a comprit qu’il a trouvé ce qu’il avait cherché. Et il a complètement accepté les règles de yoga à la base d’un autre livre « Le Yoga Pratique » de Hashnu Hara. Il n’a pas choisi de pratiquer uniquement les positions yogiques ou les exercices respiratoires mais il s’est surtout efforcé d’accomplir des demandes morales strictes qu’il avait comprit comme une partie inséparable de la doctrine yogique.

D’après ses paroles, Kvetoslav Minarik a commencé à pratiquer le yoga dans des conditions de vie inconvenantes. Il travaillait dans une boulangerie où il respirait monoxyde de carbone, son temps de travail durait 70 heures par semaine, puis 92 heures par semaine. En plus, il avait souffert de malnutrition pendant 7 ans. Il consacrait au yoga quelques heures par jour, finalement il dormait seulement 2 heures par nuit. Une telle tension a eu un impact négatif sur sa santé physique.

En acceptant la discipline absolue avec l’accent sur la vie morale, Kvetoslav Minarik a atteint la connaissance suprême dans le sens bouddhique en septembre 1926. Plus tard, il a écrit dans sa biographie que tout d’abord, au moment d’atteindre cette connaissance, il n’avait pas su où la classer. C’était seulement quelques années plus tard qu’il s’était rendu compte, qu’elle correspondait avec la celle du bouddhisme tibétain de mahayana. Il a compris, grâce à cette connaissance, le développement spirituel des humains, ses obstacles et comment les surmonter ainsi que l’essence des doctrines spirituelles et religieuses mondiales.

Mais Kvetoslav Minarik n’a jamais conseillé à personne - à la base de la connaissance acquise – de répéter son style de chemin vers la Connaissance. Il écrit dans sa biographie :… La concentration devient ainsi un problème psychologique qui n’aurait pas pu être résolu par un débutant de yoga. Mais que savais-je sur les problèmes du développement spirituel ? J’ai trouvé le chemin mystique et j’ai compris dans l’état de non-savoir naturel qu’il fallait accepter tous ses articles immédiatement. Mais, dans la première étape, il s’agit pour l’homme de se guérir par la discipline morale de la corruption interne naturel et de reporter le travail technico-mental jusqu’au temps où les bonheurs commenceront à monter par les dispositions morales. Et c’est ce que je ne savais pas dans ce temps, j’avais peut-être un très bon génie au moment où je complétais le travail mental -dont je n’ai jamais accepté les résultats- par un effort moral sans compromis...

Kvetoslav Minarik a voulu partager sa connaissance avec les autres dès le temps où il l’a atteint. C’est parce que il a senti la reconnaissance, les gens l’avaient aidé. Ses destins suivants se sont développé à la base de cette décision, les destins marqués par l’effort de transmettre la connaissance sous la forme de la doctrine grâce de laquelle des gens auraient pu arriver à l’accalmie de la souffrance. Voilà pourquoi, pendant tout le reste de sa vie, il était au service personnel des gens qui cherchaient. Il a aussi transmis sa connaissance dans son œuvre littéraire immense.

Les années trente et le te temps de la deuxième guerre mondiales

Kvetoslav Minarik a épousé Anna Minarikova en 1932 à Hradec Králové, ils ont eu un fils, Jaroslav. Il a écrit dans sa biographie que son mariage avait pour le but d’entrer en contact avec les gens pour transmettre ses expériences spirituelles.

En 1934 il a déménagé avec sa famille à Pardubice où il est resté jusqu’à 1945.

Il a participé, pendant un certain temps dans les années trente, aux réunions du club Psyché. Ce club était fondé par Karel Weinfunter en 1929.

Il est tombé sur les textes de mahayana pour la première fois en 1935 et il a réalisé qu’il avait atteint la connaissance qui correspondait avec cette direction.

Il a commencé à écrire son premier livre en 1936, le livre intitulé « Le Sentier Direct » avec lequel il a voulu «appeler » ceux qui cherchaient dans les doctrines spirituelles. Il a réussi a faire sortir « Le Sentier Direct » en mars 1939, peu de temps avant l’occupation de Tchécoslovaquie par l’Allemagne de Hitler.

Kvetoslav Minarik était après l’occupation de Tchécoslovaquie par l’armée allemande en 1939 « au service obligatoire de travail » dans l’industrie de guerre à Pardubice. En août 1944 la maison de la famille Minarik était détruite par un bombardement d’un raid aérien des Alliés qui aurait été destiné aux usines industrielle.

Après la guerre, entre les années 50 et 70

Kvetoslav Minarik a déménagé avec sa famille à Jablonec nad Nisou en 1945.

Il a atteint l’approfondissement et la consolidation de son état intérieur en continuant son travail spirituel.

Après le février 1948, il était observé par la police communiste secrète d’état (StB), pareillement que la majorité des ésotériques tchèques. La publications de ses écrits était impossible aussi bien que pendant l’occupation allemande. Une seule exception était une période courte après le printemps de Prague en 1968.

Kvetoslav Minarik a déménagé à Liberec en 1963. Sa femme est décédé en 1967 et il a déménagé encore une fois, à Brezova. Il a demandé l’autorisation officielle de pouvoir partir en Suisse, à Genève, avec Krista Ledrova et Zora Subrtova. Mais enfin, il a résolu de ne pas réaliser ce chemin pour des raisons différents, entre autres à cause de l’état de santé de Krista Ledrova.

Kvetoslav Minarik a décédé le 4. juillet 1974 à l’hôpital de Zbraslav il est enterré à Prague.